Calendrier des offices 2014-2015

Vêpres Divine Liturgie
Samedi 13 septembre 2014 dimanche 14 septembre 2014
Samedi 11 octobre 2014 dimanche 12 octobre 2014
Samedi 8 novembre 2014 Dimanche 9 novembre 2014
Samedi 6 décembre 2014 Fête Paroissiale Dimanche 7 décembre 2014
Fête de la Nativité
Mercredi 24 décembre 2014
Samedi 17 janvier 2015  Dimanche 18 janvier 2015
Vêpres du Pardon
et entrée en Carême
Dimanche soir 22 février 2015: 18H30
Liturgie des Présanctifiés
Lundi soir 23 février 2015: 18H00
Samedi 21 mars 2015: Onction des malades à 18h00 Dimanche 22 mars 2015
Matines Pascales suivies
de la liturgie de Pâques: Dimanche 12 avril 2015 à 18H00
Samedi 9 mai 2015 Dimanche 10 mai 2015
Samedi 27 juin 2015 Dimanche 28 juin 2015

rentrée de septembre

Rentrée de septembre 2014 Troyes

            Le Nouvel an liturgique est fixé par notre Eglise au 1-er septembre. Dans notre Patriarcat, c’est aussi le jour de la Création. Cette commémoration a été instituée en 1989 par le patriarche de Constantinople Dimitrios, et son successeur, le patriarche Bartholomée, a fait composer des vigiles pour la fête.

            Il y a de nombreuses façons de comprendre la parabole des talents. Ces interprétations ne sont pas exclusives l’une de l’autre. Et l’on peut établir un parallèle avec la Création. Le premier homme a reçu la vie et il a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu. Ce premier talent, cette ressemblance, Adam devait la développer, mais en restant volontairement soumis à Dieu, en ne faisant pas un mauvais usage de sa liberté. Nous savons qu’il a voulu s’affranchir de cette soumission. Le premier homme a reçu un second talent – Dieu a voulu lui accorder le statut de co-créateur. Même après la chute, il a reçu la terre sur laquelle nous vivons et en a été responsable comme nous le sommes encore actuellement. En plus de la terre où nous vivons, chacun de nous a également reçu des dons, à commencer par la vie, puisqu’il nous a été donné de naître, puis toutes les facultés physiques, intellectuelles et spirituelles qui nous ont été aussi données à la naissance et que nous sommes appelés à faire fructifier. Il est normal que nous ayons à assumer une forme de responsabilité pour l’accomplissement de ces dons. Que personne ne pense qu’il n’en a reçu aucun – encore une fois, cela vous a été souvent dit ici, tout le monde n’est pas obligatoirement un génie, tout le monde n’a pas vocation à être un sportif ou un artiste de haut niveau, mais il y a un don que nous avons absolument tous reçu, un don qu’il nous faut développer – c’est la faculté d’aimer son prochain. Le prochain, c’est toute personne qui a besoin de nous, et nous avons tous besoin les uns des autres.

            En ce début de septembre, nous mettons l’accent sur le premier don que nous avons reçu en même temps que la vie, nous mettons l’accent sur la sauvegarde du monde qui nous a été confié. Dans le récit biblique de la Création, il est dit que Dieu a créé le monde en sept jours – il s’agit de sept étapes et non de sept jours terrestres. La durée d’une journée sur Mercure vaut 59 jours terrestres, sur Vénus elle en vaut 117. Dieu, par définition, n’est pas limité par les contingences, par le calendrier astronomique de la planète sur laquelle nous vivons, ni celui de toute autre planète de l’Univers. A l’issue de la Création Dieu exprime Sa satisfaction – « Dieu vit tout ce qu’Il avait fait, et que c’était très bon ».- est-il écrit. Auparavant, Il avait confié la terre au premier couple d’humains : « Dieu les bénit et Il leur dit : Soyez féconds et prolifiques, remplissez la terre et dominez-la » – lisons-nous dans la Genèse. La domination dont il est question ne signifie pas que l’homme peut faire tout ce qu’il veut avec la création, cela signifie qu’il ne doit pas lui être soumis, qu’il ne doit pas être dominé par elle. Nous pouvons ajouter que l’homme est responsable de ce qui lui a été confié, et qu’il ne doit pas le détériorer.

            Lorsque le premier homme a enfreint la seule interdiction qui lui ait été faite, lorsqu’il a voulu « posséder la connaissance de ce qui est bon ou mauvais et être comme Dieu », il s’est chassé lui-même du paradis. Il est rapporté que Dieu lui a alors dit : « parce que tu as mangé de l’arbre dont Je t’avais formellement prescrit de ne pas manger, le sol sera maudit à cause de toi. C’est dans la peine que tu t’en nourriras tous le jours de ta vie (…) jusqu’à ce que tu retournes à la terre car c’est d’elle que tu as été pris. Oui, tu es poussière et à la poussière tu retourneras ». Il est écrit quelques lignes plus loin que « la terre s’était corrompue devant Dieu et s’était remplie de violence ». Le premier homme s’étant privé de la première chance qui lui avait été offerte par Dieu, une deuxième chance a été offerte à Noé et à ses enfants après le déluge, puis une troisième et dernière chance nous a été offerte par le Christ.

            Pour un chrétien ou un juif, la terre n’est ni bonne, ni mauvaise, elle est neutre. Et l’homme ne peut maîtriser ni les éruptions volcaniques, ni les tremblements de terre, ni les raz-de-marée qui engloutissent indifféremment les bons comme les mauvais. En revanche, il est appelé à veiller à ce que son comportement n’accentue pas les désordres naturels. Le détournement des fleuves, l’exploitation déraisonnable des ressources terrestres, la pollution qui s’accroît du fait de l’augmentation exponentielle de la consommation, tout cela va à l’encontre des plans de Dieu. Il a créé un monde parfait, l’homme, co-créateur, l’a rendu imparfait. Il n’a pas fait fructifier son talent. La fête de la Création nous rappelle cela et nous met en face de nos responsabilités.

Pierre et Paul

Pierre et Paul Troyes 2014

            Nous fêtons aujourd’hui deux apôtres qui ont un statut particulier – on les appelle souvent les coryphées, les princes des apôtres. Une forme de prééminence est accordée à deux hommes très différents l’un de l’autre, et dont les parcours spirituels ont été également radicalement différents. Cette prééminence s’explique par l’importance du rôle qu’ils ont joué dans la fondation de l’Eglise primitive. Mais bien d’autres saints disciples et apôtres ont aussi apporté leur contribution à la diffusion de l’Evangile dans le monde. Saint Paul a écrit que tous les membres de l’Eglise La servaient, chacun à sa manière, chacun selon les dons qu’il a reçus de Dieu. Les disciples du Christ, ceux qui L’ont suivi, étaient des gens simples, à l’exception de Matthieu, le collecteur d’impôts, auteur présumé de l’Evangile qui porte son nom. Auteur présumé parce que les Evangiles écrits ont été rédigés vers la fin du 1-er siècle, soit par les auteurs eux-mêmes, soit par leurs disciples qui ont entendu la version originale, la version orale des Evangiles. N’oublions pas que dans le monde juif de l’époque du Christ, la tradition orale précède toujours sa version écrite.

            A la Pentecôte, les disciples illettrés ont été transformés en orateurs subtils. L’apôtre Jean, celui que le Christ préférait est devenu théologien. C’est d’ailleurs ce qualificatif que L’Eglise a adjoint à son nom. Au passage, l’Eglise n’a accordé le titre de théologien qu’à trois saints – à l’apôtre Jean, à Saint Grégoire de Naziance et à Saint Syméon le Nouveau théologien …

            Parmi les premiers disciples, l’évangéliste Matthieu et Saint Paul sont donc des exceptions. Saint Paul, lui, était un fin lettré, un pharisien érudit, formé par Gamaliel, le grand maître du judaïsme de l’époque du Christ.

            Si l’on compare les écrits des différents disciples, les quatre évangélistes sont faciles à comprendre, même si Saint Jean-le-théologien a une approche un peu plus complexe. L’évangéliste Luc, médecin syrien d’Antioche, a fait une étude historique que tous peuvent comprendre sans difficulté. Les évangélistes Matthieu et Marc, qui s’est inspiré de l’enseignement oral de l’apôtre Pierre, les apôtres Jacques, Pierre et Jean dans leurs épîtres ont tous utilisé une langue simple, ils se sont mis à la portée de tout un chacun. Après tout, le Christ avait demandé qu’on laisse venir à Lui les enfants. La Bonne nouvelle, l’Evangile doit être compréhensible par tout le monde.

            Les épîtres de l’apôtre Paul, en revanche, sont souvent complexes et leur interprétation est loin d’être évidente. Elles sont cependant extrêmement riches en enseignements. Et il faut les lire et les relire et prier leur auteur de nous aider à les comprendre. Plusieurs Pères de l’Eglise recommandent de s’adresser par la prière aux auteurs qui ont rédigé le Nouveau Testament et aux saints qui ont écrit des ouvrages théologiques pour leur demander d’éclairer leurs lecteurs.

            Nous avons pu récemment assister en direct à la télévision à la rencontre à Jérusalem de l’évêque de Rome et de l’évêque de Constantinople, la Nouvelle Rome. Un jour viendra où les évêques de Moscou – la troisième Rome et ceux des autres Patriarcats se joindront à ceux de Rome et de Constantinople pour mettre fin à la division entre chrétiens occidentaux et orientaux. Le Patriarche Athénagoras et le pape Paul VI étaient parvenus à la conclusion que la diversité dans l’Eglise n’était pas obligatoirement un obstacle à l’unité. Le chemin vers l’Unité sera encore long et difficile. L’unité ne pourra être obtenue que si l’ensemble des Eglises-sœurs orthodoxes parviennent à une attitude commune sur ce point, et si l’unité ne se fait au détriment ni des uns, ni des autres.

            Saint Paul et Saint Pierre ont été très différents, ils ont servi le Christ et l’Eglise, ce qui revient au même, chacun à leur façon. Dans notre communauté chaque paroissien, sans exception, des plus jeunes aux plus anciens apporte sa contribution à la vie de la paroisse, en fonction de ses talents, en fonction de ses possibilités. Il y en a un parmi nous qui s’implique tout particulièrement et depuis longtemps dans la vie de notre communauté et dont c’est aujourd’hui la fête, puisqu’il porte le nom de Paul. Nous lui sommes tous reconnaissants pour son dévouement sans failles. A la fin de la liturgie, nous lui souhaiterons de « longues années », mnogaïa leta.

5-ème dimanche de carême

5-ème dimanche de carême Troyes 2014

Nous allons fêter Pâques dans deux semaines. Le carême est une période où nous essayons de revenir aux normes qui devraient être les nôtres en permanence, tout au long de l’année. Nous sommes appelés à faire le ménage de notre âme pour fêter le plus dignement possible la Fête des fêtes, la Résurrection du Christ, sans laquelle notre foi serait vaine. Nous sommes appelés à la perfection, et notre imperfection peut nous décourager.

Saint Jean Climaque, que l’Eglise a commémoré dimanche dernier, répond à notre découragement : « Aussi dépendants que nous soyons de nos penchants, – écrit-il, aussi graves que soient les maladies de notre âme, gardons-nous bien de perdre courage ; mettons, au contraire, en Dieu une confiance pleine et entière. Ainsi, alors même que nous nous sentons faibles, soutenus par la fermeté d’une foi inébranlable, présentons-nous devant le Christ, et avec une grande simplicité et une profonde humilité, exposons-Lui notre faiblesse et nos misères, l’abattement de notre âme et de notre corps ; et, tout indignes que nous soyons, Il nous tendra la main avec bonté, et nous prendra sous Sa puissante protection avec une tendre charité ».

Le père Alexandre Men’ proposait à ses paroissiens des prières pénitentielles où il passait en revue tout ce qui nous éloigne de Dieu. Suivant la tradition du p. Alexandre, dont il était proche, le père Vladimir Lapchine fait précéder chaque liturgie dominicale d’une prière pénitentielle, dans sa paroisse de Moscou. Les deux prêtres reprennent l’appel de Saint Jean Climaque à « exposer devant Dieu nos faiblesses et nos misères », et à reconnaître « notre indignité ».

Nous allons reprendre aujourd’hui, la prière pénitentielle adaptée à nos réalités, qui vous a été proposée à Troyes, sous forme écrite, il y a un certain nombre d’années.

Nous péchons constamment contre Dieu que nous évacuons de notre vie, dont Il est absent parce que cela nous arrange. Dès que nous sommes sortis de l’église, nous vivons comme s’Il n’existait pas. Nous pensons que nous croyons en Lui, mais nous n’en assumons pas les conséquences, et nous portons un contre-témoignage, car le Christ nous demande d’être le sel de la terre, alors que, par notre attitude, nous permettons à ceux qui ne croient pas, d’attribuer nos défauts à l’Eglise, dont nous sommes membres. Si nous croyions vraiment en Dieu, nous serions conscients en permanence de Sa présence, et nous pécherions beaucoup moins. Qui se livre à un excès de vitesse devant un radar ? Qui commet une infraction devant un représentant des forces de l’ordre ? Qui dit en face de quelqu’un tout le mal qu’il pense de lui ?

Nous péchons contre Dieu quand nous lui accordons beaucoup moins de temps qu’à nos loisirs qui ne sont pas, eux-mêmes, toujours sources de régénération spirituelle ; quand nous préférons lire un ouvrage ou une revue médiocres ou regarder une émission tout aussi médiocre plutôt que de consacrer un peu de temps à la prière ou à la lecture des Ecritures.      Nous péchons contre Dieu quand nous oublions de Le remercier quand tout va bien, ou en tout cas, pas si mal ; quand nos prières ne sont qu’un catalogue de requêtes égoïstes.          Nous péchons contre Dieu quand nous avons peur de l’avenir, parce que nous manquons de confiance en Lui.

Nous péchons contre Dieu quand nous Le tenons pour responsable des malheurs qui nous arrivent ou des épreuves que nous traversons et Lui en voulons pour cela. Nous ne comprenons pas que les épreuves sont nécessaires à notre progression. Un enfant n’apprend pas à marcher en un jour, il affronte des difficultés, il tombe avant de se relever. Il en va de même dans la vie spirituelle. Ayons la force de remercier Dieu pour les épreuves qui nous permettent de nous relever.

Nous péchons contre Dieu quand nous Lui adressons des prières automatiques, sans réfléchir à ce que nous Lui disons, comme si nous accomplissions un devoir qui devrait Le satisfaire. Nous péchons contre Lui quand nous estimons qu’Il est notre obligé quand nous venons à la liturgie, alors que c’est exactement le contraire.

Nous péchons contre Dieu quand nous oublions à quel point nous sommes pécheurs, quand nous perdons la conscience de nos fautes et estimons que nous ne sommes pas si mauvais que cela. Nous péchons quand nous demandons le pardon de nos fautes sans demander notre guérison, car elle impliquerait des changements dans notre vie que nous ne sommes pas prêts à assumer.

Nous péchons contre Dieu quand nous essayons de trouver des justifications à nos manquements envers Lui et envers notre prochain, quand nous nous mettons nous-mêmes et notre bien-être au centre de nos préoccupations et ne voyons dans notre prochain qu’un instrument à notre service.

Pardonne-nous, Seigneur, de ne pas T’aimer de tout notre cœur, de toute notre âme et de tout notre esprit et envoie-nous Ton Esprit pour nous guérir de nos infirmités, car nous ne pouvons rien sans Ton aide.

Nous péchons constamment contre les hommes et contre nous-mêmes quand nous nous mettons en colère, quand nous restons indifférents aux souffrances des autres ou essayons de ne pas les voir pour ne pas être gênés dans notre confort personnel.

Nous péchons contre les hommes et contre Dieu quand nous jugeons notre prochain. Nous ne nous rendons pas compte de ce que nous demandons dans la prière du Seigneur. En disant: “pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés”, nous signons notre condamnation. Pardonne-nous, Seigneur, comme nous essayons de pardonner notre prochain. Nous péchons aussi quand nous oublions les bienfaits dont nous avons bénéficié de la part de notre prochain, alors que nous gardons en mémoire la moindre vexation que nous avons subie.

Nous péchons contre notre prochain lorsque nous le jugeons et condamnons ses fautes même réelles, et quand nous passons en revue ses faits et gestes en son absence. Pardonne-nous, Seigneur, accorde-nous la maîtrise de nos paroles, et la sagesse de ne dire d’autrui que ce que nous serions capables de lui dire en face.

Nous péchons contre Dieu, contre notre prochain et nous-mêmes, et nous détruisons l’image de Dieu en nous, quand nous éprouvons de l’envie, quand nous éprouvons une joie mauvaise à la vue des défauts ou des échecs de notre prochain.

Nous péchons contre notre prochain quand nous ne parvenons pas à aimer ceux qui nous ont fait souffrir. Pardonne-nous, Seigneur, et donne-nous au moins la force de ne pas les détester et ne pas leur vouloir du mal.

Nous péchons contre nous-mêmes, lorsque poussés par notre orgueil, nous voulons à tout prix avoir raison.

“Seigneur, délivre-nous du désir d’éviter les vexations, d’imposer nos opinions, de voir nos conseils acceptés, d’être félicités, d’être loués, d’être respectés, d’être les premiers, d’être aimés; délivre-nous de la peur d’être négligés, d’être soupçonnés, de ne pas être reconnus, d’être mal compris, d’être rejetés, d’être calomniés, d’être humiliés, d’être ridiculisés. Aide-nous, Seigneur, à accepter avec amour et à supporter que d’autres soient mieux considérés que nous ; que l’on ne nous remarque pas, alors que d’autres ont des marques d’attention, que nous n’ayons pas la première place, que l’on nous préfère d’autres personnes, … Accorde-nous, Seigneur la grâce de l’humilité et de l’amour”. (p. Alexandre Men’)

Nous péchons contre Dieu et contre nous-mêmes quand nous éprouvons de la vanité, de la suffisance, quand nous avons des pensées impures, quand nous employons des mots choquants, alors que nous aurons à répondre de toute parole que nous aurons prononcée, quand nous nous livrons à des excès en tous genres dans les domaines de l’alimentation, de la boisson ou des distractions alors que ces excès détruisent notre vie sur les plans matériel et spirituel.

Nous péchons contre Dieu et notre prochain quand nous ne faisons pas le bien que nous pourrions faire, par paresse ou par égoïsme. Nous péchons contre Dieu, contre notre prochain et contre nous-mêmes quand par notre négligence ou notre consommation excessive nous contribuons à la destruction de la planète qui nous été confiée par Dieu, et à l’appauvrissement de populations qui sont déjà pauvres.

Nous savons que nous sommes faibles et que nous ne pouvons rien faire sans Ton aide, Seigneur. Envoie-nous Ton Esprit afin qu’Il nous guide dans notre vie, qu’Il nous guérisse de nos infirmités et nous permette de communier aujourd’hui sans que cela soit pour nous un jugement ou une condamnation.